Consultation et Principe
En analysant la façon avec laquelle le consultant considère le monde extérieur (représenté ici par des petites séquences de film), le test va mesurer ses fonctions cognitives et établir un mode de représentation (une simulation) du fonctionnement de son cerveau et des relations que celui-ci établit avec le corps et l’esprit.
Le Principe
A l’aide d’un test de reconnaissance et de restitution des couleurs, le STRANNIK PSY permet, grâce à l’analyse de nombreux facteurs cognitifs, de mettre en évidence le fonctionnement du cerveau, c’est-à-dire comment celui-ci reçoit, comment il traite, comment il stocke et comment il restitue des informations.
Démonstration du logiciel
La Pratique
La procédure de test prend la forme d’un jeu informatique interactif.
Celui-ci implique que le patient étudie et mémorise les couleurs d’une séquence de film présentée pendant une période de 30 secondes.
Après cette projection, les couleurs du film sont modifiées par un filtre ou une lentille colorée.
En utilisant la souris de l’ordinateur, le consultant doit sélectionner les couleurs à l’aide d’une palette graphique de 6 couleurs et il doit tenter de restituer les couleurs initiales du film.
Il faut en général 3 à 5 séquences de film mais le test peut être plus long si le patient est particulièrement fatigué ou si la pathologie qu’il présente perturbe l’examen (maladie d’Alzheimer ou encéphalopathie par exemple).
L’analyse des paramètres étudiés lors du test de restitution des couleurs va permettre d’établir le modèle biologique et le modèle psychologique personnel du consultant. Ce sont ces modèles qui permettent la réalisation des bilans psychosomatiques et psycho-émotionnels.
Le Modèle Biologique de référence
Le STRANNIK PSY va considérer, conformément à la démarche cognitive, l’état des grandes fonctions du cerveau du consultant lors du test : la perception, l’imagination (mise en image), la mémoire et la capacité de décision. En fait, d’un point de vue quantique, l’image proposée n’est qu’une suggestion faite au consultant; c’est celui-ci qui rend sa réalité objective par le fait même de l’observer. Cette analyse comparative entre les séquences initiales et les séquences de restitution permet d’établir temporellement la « réalité » neuro-psycho-physiologique du consultant.
Cette représentation permet d’étudier l’activité des fonctions cérébrales, leur déficit éventuel et leur évolution au cours du test.
Avec le STRANNIK PSY, tout se passe en couleurs. En effet, comme certaines des études les plus récentes dans le domaine des neurosciences tendent à le confirmer, le Dr Grakov I. considère le rôle déterminant des photons et des quanta de lumière dans la transmission des informations au niveau du cerveau.
Pour ce médecin chercheur, toute information entrant ou quittant le cerveau le fait sous la forme d’une matrice neurale colorée (les photons). Les couleurs (décompositions spectrales dans le domaine du visible de la lumière) constituent ainsi le moyen privilégié d’encodage des informations.
Deux types d’analyse sont effectués au cours du décodage des données du test.
La première analyse
va tenir compte des diverses manipulations de la souris, de la circulation de celle-ci sur la palette graphique, de la logique correspondant à ces manipulations, du temps d’appui sur la souris, de la vitesse d’exécution du test, du nombre de séquences de film, etc…
La seconde analyse
concerne plus précisément la qualité de restitution des couleurs des documents filmés et les déviations, couleur par couleur, par rapport aux films originaux. Plus de 1.600.000 nuances spectrales sont utilisées dans la réalisation du test et dans l’analyse des données.
L’analyse des déviations dans les courbes de restitution fournissent, du fait de cette précision, une signature colorée tout à fait particulière. A l’aide d’algorithmes complexes dont l’équipe du Dr Grakov I. garde le secret par souci de protection des droits intellectuels, ces données vont être converties pour permettre une représentation, ou plus précisément une « simulation » du fonctionnement du cerveau et des relations entre celui-ci et les organes du corps. C’est le modèle biologique personnel.
Ce modèle comporte une unité de centralisation, le « programme de gestion », qui gère à la fois les informations provenant de l’environnement externe, ce qui permet d’apporter les réponses adéquates aux agressions extérieures et au stress, ainsi que les informations provenant de l’ « environnement interne », c’est-à-dire des cellules, des organes et des systèmes physiologiques de l’organisme ainsi que des émotions.
Le modèle biologique personnel peut ainsi être représenté sous la forme suivante :
Chaque conflit non résolu engendre des pertes de cohérence des signatures spectrales sur les groupes de cellules qui lui sont associés. L’identification de la cohérence ou la non cohérence spectrale de celle-ci par l’analyse neurophotonique comparative permet de localiser la nature du conflit émotionnel impliqué et les conséquences somatiques engendrées.
C’est ce modèle qui permet la réalisation des bilans psychosomatique et psycho-émotionnel.